Le musée de la mine à Aubin porte le nom de Lucien Mazars. Il s’agit d’un monument consacré exclusivement à l’histoire minière d’Aubin Decazeville dans le département de l’Aveyron et en région Occitanie. On y trouve une riche collection constituée de documents d’archives, du matériel, des lampes de mineurs, des photographies d’antan ainsi que des bannières et des drapeaux corporatifs utilisés à l’époque dans les mines. Le musée comprend également une galerie qui représente la reconstruction de l’ancienne mine. Ce musée a été édifié en 1979. Il a ensuite été rénové et restructuré en 2000.

Présentation du lieu

Le musée de la mine Lucien Mazars à Aubin est un endroit qui reproduit l’histoire du bassin d’Aubin/Decazeville via les vestiges de la vieille mine. A travers tous les éléments qui constituent la collection dans ce musée, on peut revivre la vie des mineurs. Ils permettent de ressentir tout ce qui s’est passé dans la mine : les pertes qui ont endeuillé beaucoup de familles lors de l’impressionnant accident à la mine, l’univers symbolique du bassin houiller et de la région entière. Pour enrichir l’histoire qu’on y reçoit, la visite du musée s’accompagne d’une projection de 6 films.
Faire un tour dans ce musée est une activité à faire en famille pour faire connaitre aux enfants le passé « des gueules noires ». La visite permet aussi de s’enrichir en histoire même si on ne vient pas de cette région.

Infos pratiques sur le musée

Les visites individuelles sont gratuites au musée. Pour les visites en groupe, chaque personne paie 1,5 euros. Pour les enfants âgés de moins de 12 ans, l’entrée est gratuite. Le musée ouvre à partir du mois d’avril. Pour les mois d’avril, mai et octobre, il est ouvert le mardi, jeudi et samedi de 14 h à 17 h. Pour les mois de juin et septembre, il est ouvert tous les jours sauf le dimanche de 14 h à 18 h. Et pour les mois de juillet et aout, il reçoit les visiteurs tous les jours sauf le lundi de 10 h à midi et de 14 h à 18 h. Cet endroit est accessible aux personnes à mobilité réduite sauf lors de la présentation scénique du « coup de grisou ».