Si l’on souhaite s’investir dans la pierre en Aveyron en achetant un terrain, on ne peut pas tout de suite procéder à l’achat. Mieux vaut avant toute chose procéder à des examens et des analyses permettant de savoir s’il est constructible ou non avant de conclure le contrat d’achat. Mais il n’est pas toujours facile de déterminer cette possibilité. Il y a plusieurs détails à connaitre à propos du terrain pour déterminer s’il est constructible ou non. Non seulement il y a les conditions géologiques mais il y a aussi les conditions légales. Voici plus d’infos.
Les démarches à suivre
La première chose à faire avant de signer le contrat d’acquisition de terrain en Aveyron est la consultation du PLU. A défaut, on peut aussi consulter le POS. Il y a 4 zones à savoir. Ce sont les zones urbaines ou U, les zones à urbaniser ou AU, les zones agricoles ou A et les zones naturelles et forestières ou N. En général, les deux premières zones sont toujours constructibles. La troisième zone est constructible sous réserves strictes et la dernière est interdite à la construction. Ces documents sont consultables auprès de la mairie concernée.
Mais si l’on a encore besoin de plus de certitude par rapport à la constructibilité du lieu, on peut aussi faire appel à des professionnels de la construction qui feront des analyses du sol. Ils détermineront à ce moment le niveau de difficulté des futurs travaux.
Une fois qu’on ait les résultats de ces analyses, on peut enfin se décider si l’achat du terrain en Aveyron est porteur ou non.
Ce qu’on doit savoir d’autres
Avant d’acheter ou non un terrain, il est également important de voir tous les documents le concernant. Il doit par exemple avoir un numéro de cadastre. Ce dernier coïncide avec le numéro de la parcelle du terrain sur le plan.
Quand on procède à la construction, on doit aussi obtenir un permis particulier. Pour l’avoir, il faut répondre à plusieurs critères et se plier aux différentes conditions imposées par la mairie locale. Ce sont par exemple les règles d’urbanisme contenues dans le certificat d’urbanisme d’information. Si possible, mieux vaut aussi avoir connaissance de ces règlements au préalable.